Avec ou sans Masques ?
Rentrer en rebellion ou pas ?
Developper la théorie du complot ou pas ?
Critiquer le gouvernement ou pas ?
Suivre le mouvement ou pas ?
Quel sera le bon choix à faire  ? “Le VOTRE”

Tellement d’énergies perdues sur un choix qui impacte un quotidien, votre quotidien.
Peut-être qu4une des questions fondamentales reste de savoir sur quoi, votre énergie est
mise, peut paraitre prioritaire.
Qu’est ce qui est important pour vous et inspirera votre cercle personnel et intime. Savoir
tenir compte de votre écologie interne, de votre environnement, vos proches, de la
direction donnée à votre avenir…
Savoir prendre “LA” bonne décision, devient une compétence dans ce monde fou,
complexe ou l’incertitude règne. il existe de multiples outils ou techniques pour apprendre
à faire le bon choix et prendre une bonne décision.
Mais une fois, ce choix validé et la certitude que la décision est bonne, donnez-vous un
ordre et exécutez-le, point final !!
La seule certitude ➡️ un jour on mourra… en bonne santé ou pas ? Voilà encore un
choix.
Ne connaissant pas votre date de mort, peut être faire de votre quotidien un moment
magique, léger en accord avec vos valeurs… tout en continuant à naviguer dans des
eaux troubles…
Lors du dernier souffle n’avoir aucun regret ni remords. Simplement un sourire d’une belle vie

Billet d’humeur

Etant moins présent sur les réseaux sociaux à titre personnel, Je le
reste professionnellement que pour aider la communauté des
formateurs.

Ce que je vois sur mon fil d’actualité, est souvent deux types
d’informationsreliés par mes contacts.
Les annonces du gouvernement et les annonces des lanceurs
d’alerte.
Selon mon opinion (qui n’est que la mienne��‍♂️), je vois un
gouvernement qui nous ment en utilisant la peur. Deux
analyses possibles selon ses propres croyances (surtout la
mienne) :

➡️ Soit il le fait exprès
➡️ soit il est très bête avec à sa tête des incompétents.
Chacun sa vision du monde.

Et de l’autre côté des lanceurs d’alerte qui utilisent le même
processus que le gouvernement, c’est-à-dire nous faire peur

Je sais, je vais me faire des ennemis  des deux côtés. J’assume.
Comme disait Pierre Desproges ou Léon Zitrone ( je ne sais pas à
qui appartient la paternité de cette citation) «qu’on parle de moi en
bien ou qu’on parle de moi en mal pourvu qu’on parle de moi ».

Que ça soit pour le gouvernement ou les lanceurs d’alerte, j’ai
étudié leur mode et leur façon de communiquer et oh surprise  ils
sont identiques. Ils alimentent nos peurs. Techniques connues de
manipulation. Commencer par donner des informations à notre

cerveau reptilien. Et ça marche  (Je ne développerai pas sur ce
sujet là. Ça n’est d’ailleurs pas l’objectif de ce post). Ça ne reste
qu’un constat et mon opinion et on s’en fout bien.  Passons
à ce qui amène ma crainte

Au milieu de tout ça, il y a vous, il y a moi, simples humains
mortels. Pour ma part, Mon seul désir aujourd’hui, c’est
de vivre un temps soit peu de façon positive  et agréable. Fais en
sorte qu’autour de moi, je puisse diffuser le plus de choses
positives dans ce monde extérieur complexe et incertain.

Aujourd’hui lors de ma sortie du jour, pour acheter un brin de
muguet, j’ai vu beaucoup de personnes avec un masque. Le plus
étrange m’a été de voir des personnes avec le masque et la visière
(les deux en même temps). Et là je me dis c’est ça qui nous attend
dans l’avenir ? L’après confinement c’est ça ?

Ce qui me renvoie à ma plus grande crainte qui n’est pas la peur
d’être malade ou de mourir du coronavirus car 95 % des gens qui
l’ont attrapé, ont été guéris, mais de voir que c’est la bêtise
humaine qui va prendre le dessus.

On tombe dans la peur de l’autre. L’autre devient menaçant. Il est
porteur de quelque chose qui potentiellement peut me faire mourir.
La suspicion. Retour dans les années 80 avec une certaine
maladie sexuelle. À la différence que là, un simple éternuement
ou postillon peut me transmettre une maladie.
Là où l’autre était un partenaire de vie dans les magasins ou autre
lieu de vie, Potentiellement il devient dangereux. ; a t il son masque

, y a t-il une distanciation sociale suffisante ? Si je m’approche de
30 centimètres de plus, va-t-il me transmettre le virus. Cet autre,
deviendra-t-il un ennemi ? Dans les magasins, les transports en
commun ?
On doit développer la fraternité et la bienveillance et en même
temps, cette autre je dois m’en méfier. Voire même il peut me
dénoncer aux autorités si je ne sors pas sans mon attestation
valide (d’autres schémas reviennent à ma mémoire liés à mon
histoire de famille…)

De la distanciation sociale on va passer à la désocialisation. Et moi
je n’aime pas ça. Le monde est devenu fou. Un nouveau chapitre
s’ouvre aujourd’hui. L’esprit critique et rebelle qui provient de mon
identité a encore de beaux jours devant lui. Être un bloc rond dans
un trou carré.

Et une de mes phrases fétiches de Steve jobs : « À tous les fous,
les marginaux, les rebelles, les fauteurs de troubles… à tous ceux
qui voient les choses différemment — pas friands des règles, et
aucun respect pour le statu quo… Vous pouvez les citer, ne pas
être d’accord avec eux, les glorifier ou les blâmer, mais la seule
chose que vous ne pouvez pas faire, c’est de les ignorer
simplement parce qu’ils essaient de faire bouger les choses… Ils
poussent la race humaine vers l’avant, et s’ils peuvent être vus
comme des fous — parce qu’il faut être fou pour penser qu’on peut
changer le monde — ce sont bien eux qui changent le monde »

Je vous souhaite un bon week-end plein de douceur et d’amour.
Prenez soin de vous et de vos proches.

PS : il y a peut-être des fautes de syntaxe ou d’orthographe, pour
les puristes je vous prie de m’en excuser. Je me suis entraîné à
écrire ✍️ avec un masque .

Comment une supercherie est devenue un événement pres que
mondial et influe sur notre moral

 

Depuis des années, j’entends parler du « blue monday », jour le

plus déprimant de l’année. Sachant que hier pour moi, cela a été
un mauvais jour. Lien avec ou pas ?

Depuis des années, il a été défini que le troisième lundi du premier
mois est qualifié parfois de “Blue Monday”, le “jour le plus
déprimant de l’année”;.

En réalité, ce Blue Monday est …une pure invention, une
supercherie pour nous faire dépenser de l’argent dans les voyages.

Il était une fois, en 2005, une agence de voyage Sky Travel décide
de faire une campagne publicitaire. Elle s’octroie les services du
psychologue britannique du nom de Cliff Arnal pour créer cette
pub.

Le slogan de la pub en question était : “Contre la morosité
ambiante, offrez-vous une escapade au soleil”.

Cliff invente le concept de Blue Monday en 2005. Pour rendre sa
théorie plus crédible, le scientifique a carrément mis au point une
équation imaginaire avec une série de lettres :

 W pour weather (“météo”) en anglais
 D pour dettes, celles qu’on a accumulées depuis Noël
 M pour notre niveau de motivation
 Na pour notre envie de changement
 Q pour les bonnes résolutions qu’on a déjà abandonnées, etc…

Sauf que certaines notions sont très variables. Cette théorie n’a

d’ailleurs pas résisté très longtemps aux critiques.

Lui-même a avoué qu’il avait tout inventé et qu’il avait en fait été
payé dans le cadre de cette campagne publicitaire pour une
agence de voyage.

Malgré cela, le concept de Blue Monday a la dent dure, parce que
c’est vrai que c’est une période de l’année qui coïncide avec ce
qu’on appelle la dépression saisonnière.

Ce lundi serait le point de convergence de plusieurs paramètres
négatifs :

1. Le début de la semaine (lundi)
2. Le salaire du mois pas encore tombé
3. La météo (mauvais temps)
4. La période post-fêtes dont les dettes de Noël non remboursées
5. L’arrêt des bonnes résolutions, paramètres pouvant se mettre
en formule pour en déduire la date…

Et avec tout ça une formule dont l'équation retranscrite ci-dessous
de façon complète sous sa forme anglo-saxonne avec :

 W => Weather (météo)
 D-d =>debt (différence entre les dettes contractées et les
capacités de remboursement)
 T =>Time (temps écoulé depuis Noël)

 Q => (temps écoulé depuis nos résolutions du Nouvel An), M
(Manque de motivation)
 Na => (besoin d'agir).

En tout hier ma journée, n’a pas été terrible. Rien n’allait. Moi je
n’appelle pas ça les journées Blue Monday mais les
journées Josiane Balasko.

Vivement ce soir qu’on se couche, vivement la guerre qu’on
meurt.

Cette réplique tirée d’une des réplique du film « Nuit d’ivresse
»,résume bien mon d’esprit lors de ces journées moroses. Avec de
l’humour en plus. Voir le coté optimiste dans toutes situations

Bref, Blue Monday ou pas, ma journée d’hier n’a pas été bonne et
c’est ainsi. Ne cherchons pas toujours le signe partout ou et pour
tout.

 

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